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Amasia : des rencontres inoubliables avec les habitants

Pierre et Martin avec des enfants à Bomalou.
Pierre et Martin avec des enfants à Bomalou. | 

Quel pays ou ville avez-vous eu le plus de mal à quitter ?

La Polynésie française en général. Des îles d'une diversité incroyable, des archipels dans lesquels nous avons passé plusieurs mois : Gambier, Marquises, Tuamotu et les îles de la Société.

Dans quel pays êtes-vous restés le plus à terre ?

La Polynésie française, où nous avons passé plusieurs mois, mais les îles sont très éloignées et différentes. Du coup, difficile de s'imaginer que c'est un seul et même pays. Sinon, nous avons passé un mois au Panama, pour le passage du canal, et dans les îles.

Quels habitants vous ont le plus marqués ?

Les Papous, dans l'archipel des Louisiades. Ils vivent sur de minuscules îles, vierges de tout développement économique. Ils nous ont laissé un grand souvenir... Ils vivent uniquement de l'agriculture, de la pêche et du troc, à des lieux de notre style de vie. Les descendants des révoltés du Bounty nous ont permis de passer une semaine dans leur habitat saisissant, notre première escale polynésienne. Et puis les Rodriguais. Nous avons passé moins d'une semaine sur leur île (à près de 600 km de l'île Maurice), mais ce sont certainement les habitants les plus souriants et gentils que nous ayons rencontrés.


Un SCOT à revoir?

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« Pourquoi ne pas avoir travaillé sur un Scot commun ? »

Point de vue

Guy Toureaux,

président de l'Observatoire de Rhuys.

La Communauté de communes de la presqu'île de Rhuys (CCPR) vient de valider le projet de son futur Schéma de cohérence territoriale (Scot) qui sera soumis à enquête publique. De son côté, Vannes termine le sien.

 

Nous avons ainsi deux Scot en préparation sur deux territoires qui vont fusionner au 1er janvier 2017, avec un troisième, la communauté de communes du Loc'h, puisque par la loi, ces trois territoires n'en formeront plus qu'un d'ici un an.

Pourquoi alors, ne pas avoir travaillé dès maintenant sur le projet d'un Scot commun, un « Inter Scot » ? Et même si la fusion des trois territoires n'est pas encore réalisée, rien ne l'interdisait, alors que nécessairement les deux projets actuels en cours d'élaboration seront amenés à se fondre en un seul d'ici peu de temps.

Un Scot est prévu pour durer de dix à quinze ans. Les actuels sont-ils donc déjà« mort-nés » par cette fusion car nul ne peut imaginer que sur un territoire commun, deux Scot, et même trois avec celui du Loch, puissent cohabiter aussi longtemps, sans qu'une cohérence ne s'impose sur tout le territoire de la future communauté des 34 communes, que ce soit pour son aménagement, les déchets, le logement social, les transports, l'urbanisme, l'eau, l'environnement...

Si le projet de Scot de Vannes Agglo dans ses documents, mentionne parfois cet « Inter Scot », celui de la CCPR jamais.

Des différences fortement affichées sont observables à la lecture des deux documents, et si des divergences sont parfois légitimes, il n'en reste pas moins vrai que des rapprochements auraient été les bienvenus. On ne les voit guère [...].

La création de la future communauté de communes doit être comprise par ses habitants comme un atout pour l'avenir, et non comme on peut l'entendre çà et là, comme une contrainte liée à une obligation légale. »

Escapades au bord de mer (3)

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              Poursuivant notre lecture du Guide Hachette,  nous terminons  cette évocation  de la saison  touristique  du début du siècle  à Port-Navalo. 

 

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                                    Vous pouvez continuer cette balade dans le temps en regardant le site de Claude Le Du   www.port-navalo.com   qui présente de magnifiques photos de Port-Navalo et du golfe.

 

                                                                                 Jean Lucien Tessier

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Amasia : un retour en mai 2016 et déjà des projets

Le retour d'Amasia et de ses quatre navigateurs est prévu en mai 2016, au port du Crouesty.
Le retour d'Amasia et de ses quatre navigateurs est prévu en mai 2016,
au port du Crouesty. Ouest-France 

À cinq mois de la fin de leur tour du monde, les quatre copains d'Eco sailing project partagent leurs impressions en avant-première... Cinquième et dernier volet de notre série.

Comment vivez-vous l'actualité de votre pays à bord ?

Nous suivions très peu l'actualité en 2014, mais les attentats de 2015 en France nous ont bien sûr rattrapés. Nous apprenions cela en plein milieu de l'océan. Ce fut à chaque fois des moments spéciaux à vivre.

Depuis ces événements, on se tient plus souvent au courant de l'actualité. Mais à l'autre bout du monde, nous essayons de garder un peu de distance et de profiter de ce voyage.

Quels sont vos projets pour 2016 ?

Notre retour en France est prévu pour mai 2016. Dans les mois qui suivent, nous aimerions réaliser un documentaire, publier un livre. Transmettre ce que nous avons vu, c'est quelque chose qui nous plaît. Montrer cette nature magnifique et les menaces qui pèsent sur elle, informer et sensibiliser à notre niveau les gens qui nous suivent.

Mais avant cela, il nous reste encore le passage du Cap de Bonne-Espérance et des escales très attendues : le Brésil et les Açores, dernière escale avant le retour en Bretagne.

Sirène

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                                                                                                                                              Il est des silences assourdissants. Depuis qu'elle s'est tue , la sirène n'en finit pas de faire du bruit , du reuz comme on dit chez nous .

Il ne s'agit nullement de polémiquer , mais simplement de dire son sentiment sur cette curieuse impression qui se niche dans nos entrailles lorsque la sirène retentit.                                           Arzon comme toute commune littorale a son bataillon de Pompiers et de Sauveteurs en Mer . Savoir qu'ils partent pour nous secourir est important.  C'est même  pédagogique .

Alors nous ouvrons cette rubrique, pour que chacun s'exprime et  aussi pour faire savoir à nos Sauveteurs que nous ne les oublions pas.  

 

 

 

Dormez braves gens, la sirène ne sonnera plus

 

Depuis presque 50 ans, nous avions  l’habitude à Port-Navalo et dans la commune d’entendre sonner les deux coups de sirène  annonçant le départ des sauveteurs en mer. Pour beaucoup d’entre nous, c’était le moment d’une pensée   forte et émue pour ceux qui allaient risquer leur vie pour sauver celle des autres. Certains s’empressaient même d’allumer leur VHF pour être au plus près d’eux. Au début des  années 50, il n’y avait pas de sirène mais c’était le téléphone qui sonnait en pleine nuit au bureau des douanes ou chez mon père, Fernand,  afin d’organiser les sauvetages avec les moyens du bord. Puis les choses s’organisèrent autour des H.S.B , les Hospitaliers Sauveteurs Bretons, quel joli nom ! Il fut ensuite décidé que, centralisation oblige, on regrouperait tout le petit monde du sauvetage en mer sous le  cigle SNSM.  

Mais qu’il s’agisse des années 50, des HSB ou de la SNSM, tous ces volontaires  étaient et sont animés du même courage.

En ce début d’année 2016, Max Jacobée , président de la SNSM, nous fait part  d’une nouvelle surprenante : la sirène ne sonnera plus ! Nos amis partiront en mission dans l’indifférence générale. Quelles raisons ont présidéà une telle décision ? je l’ignore . J’espère  toutefois ne pas être le seul à faire part de sa tristesse. Cette sirène faisait partie de nos traditions.  Elle pouvait sans doute importuner certains, mais je ne peux croire que ce soit le motif de cette curieuse mesure sinon on pourrait craindre l’interdiction des chiens qui aboient la nuit, des coqs chantant aux aurores et même   des cloches de l’église d’Arzon.

Max précise très justement que ce signal avait une portée symbolique et pédagogique. On peut même ajouter qu’il rappelait à tous les marins de la commune que cette société a besoin de leur aide. Quand on sait que sur 2200 bateaux recensés, Max n’a reçu que 400 adhésions ! 

Amis, présidents des Associations de navigateurs  , il n’est peut être pas trop tard pour réagir ?

 

                                                                                              Yvon Calage

 

 Réagissez :    hervejan@amisdeportnavalo.fr

investissements touristiques

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Arzon. Quatre ans d’investissements pour booster l’attractivité

Roland Tabart, maire de la commune, François Goulard, président du conseil départemental, et Gérard Pierre, vice-président de la Compagnie des ports du Morbihan.
Roland Tabart, maire de la commune, François Goulard, président du
conseil départemental, et Gérard Pierre, vice-président de la Compagnie
des ports du Morbihan. 

La commune, le conseil départemental et la Compagnie des ports vont investir près de 30 millions d’euros d’ici 2019 pour transformer le Crouesty, la pointe de Port-Navalo...

Le contrat d’attractivité touristique a été signé vendredi 29 janvier, à la Maison des associations, entre la commune, le conseil départemental et la Compagnie des ports du Morbihan. "C’est un grand moment pour Arzon. Ce contrat va conforter la station comme leader touristique de la nouvelle intercommunalité", a estimé le maire, Roland Tabard.

30 millions d’euros investis

"Ce n’est pas un hasard si le port du Crouesty est numéro un pour bénéficier du contrat d’attractivité, explique François Goulard, le président du conseil départemental du Morbihan. Il se trouve que nous avions déjà beaucoup travaillé sur ce dossier lors de sa candidature aux Jeux olympiques [...] Nous allons remettre à niveau ce grand port français. La Compagnie des ports a des projets, la commune aussi, le Miramar également, et nous allons les soutenir. On le fait aussi pour la qualité de vie des habitants. Nous sommes en train de construire le paysage de l’avenir.  "

Notoriété touristique

Mais qu’est-ce ce contrat d’attractivité va changer ? "Il vise à déterminer et mettre en œuvre un programme d’investissement sur quatre ans, destinéà améliorer la notoriété et l’attractivité de la collectivité du point de vue touristique", ont expliqué Jean-François Thomas, chargé d’affaires au sein du cluster nautique, et Stéphane Hautin, adjoint au maire en charge du développement économique, du tourisme et des commerces de la commune.

Environ 30 millions d’euros seront investis par les différents partenaires de 2016 à 2019. À commencer par la commune qui investira 15,2 millions d’euros, dont 3 millions d’euros sont éligibles au contrat d’attractivité. Le département versera par ailleurs 750 000 € de subvention à la collectivité. La Compagnie des ports, elle, investira près de 14 millions d’euros.

Nombreux chantiers en vue

Seront concernés : le port du Crouesty et ses abords (quatre tronçons de travaux), la zone d’activité du Rédo, la pointe de Port-Navalo…

Au programme : l’amélioration de la couverture réseau télécom du territoire, la requalification des accès au port, des quais, mais aussi de la zone d’activité du Rédo, la création d’emplacements de camping-cars dans les campings du Tindio et de Port-Sable. Et aussi l’aménagement d’une liaison piétonnière de la Criée jusqu’à Bilgroix, la mise en place d’un circuit des mégalithes, une nouvelle tranche de travaux au parc du Fogeo, la valorisation des abords de la plage de Port-Blanc, et la création de la marque « Arzon », sans oublier l’aménagement d’un parking relais intermodal à l’entrée de la commune.

SNSM

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Quatre nouvelles recrues dans l'équipe des sauveteurs

En 2016, trois hommes et une femme ont rejoint l'équipe des sauveteurs de Port-Navalo : Charlène Evarist, employée municipale au port de Port-Navalo, Stephan Claverie, marin d'État jeune retraité d'ici peu, Philippe Bonnamy, de formation marine marchande et employé d'un chantier naval d'Arzon, Brice Lamour, auto-entrepreneur aménagement d'intérieur.

« Ils sont en formation depuis le début du mois et cela pour deux ans. On fera une première évaluation au bout d'un an », explique Manu Jacobée. Ce dimanche, l'équipe repartira, cette fois-ci, en formation locale, remorquage d'un bateau.

« Il y a 2 300 places à flots entre le port du Crouesty et les mouillages, mais seulement 400 adhérents à la SNSM », précise Manu. Et les sauveteurs bénévoles, eux, sont là pour tous.

tombe du petit mousse

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L'histoire de la croix est aussi mystérieuse que celle de la tombe

Laurent Labeyrie, Gérard Labove, Gérard Adolphe, Jacques Stephany et Jacques Legendre ont transporté et remis en place, ce mardi, la croix du petit mousse
Laurent Labeyrie, Gérard Labove, Gérard Adolphe, Jacques Stephany
et Jacques Legendre ont transporté et remis en place, ce mardi, la croix du petit mousse | 

Plusieurs histoires au fil des ans ont été liées à la tombe du petit mousse, enterré face à la mer.

Une date, le 2 octobre 1859. La mer rejette un cadavre ayant séjourné plus de deux mois dans l'eau. Personne ne peut le reconnaître. Ce serait un homme d'une trentaine d'années avec, sur son gilet et pantalon, des boutons de cuivre avec ancre et canon.

Une autre date, celle de 1891. Le corps d'un petit mousse de la Jeune Florentine, navire perdu corps et biens, aurait été retrouvée au Petit-Mont. Et ce ne sont pas les seules hypothèses.

« Ne pas dénaturer les lieux »

Un deuxième mystère celle de la croix sur la tombe. L'Association de Défense du patrimoine arzonnais (ASPA) l'a transporté pour la première fois. Elle était très sale à l'intérieur. La croix de plus de 100 kg, a été nettoyée et repeinte avec son socle. Sa remise en place s'est effectuée ce mardi midi.

« En faisant cette opération sur la croix, on s'est aperçu que ce n'était pas la croix qu'il y avait sur les vieilles photos que l'on avait », précise Laurent Labeyrie, président. Elle pourrait venir de la tombe de M. Couedel, le constructeur du phare, qui est décédé en 1918. Sa femme est décédée en 1954.

Au moment du déménagement du cimetière, les deux corps auraient-ils été inhumés ensemble et une des croix laissée ? Un appel aux mémoires du côté des familles de Baden, de Plougoumelen, d'Arzon apporterait un éclairage ou peut-être même une réponse ?

Dans cette attente, l'ASPA rénove la tombe. Prochainement, une action aura lieu, avec l'équipe des espaces verts de la commune, pour haubaner une branche et rénover le mur de l'enclos. « Mais surtout, sans dénaturer ce site si mystérieux », précise Laurent Labeyrie.

L'association lance également un grand programme de restauration des 24 fontaines de la commune et en appelle aux habitants des quartiers concernés.

Samedi 13 février, l'ASPA fêtera son 20e anniversaire, à la Maison du Port d'Arzon. Conférence à 18 h, suivie de chants et contes à 19 h 30. Puis fest-noz à 21 h.


Budget communal

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Vote du budget : « De gros efforts » seront encore demandés

Vote du budget 2 016

« Nous avons souhaité que le budget 2016 soit avancé pour permettre d'enclencher plus rapidement les travaux », précise le maire, lors du conseil municipal, lundi,.

Le résultat de l'exercice de 2015 affiche un excédant global d'écriture de 2 350 168 €. La section d'investissement n'a pas besoin de financement puisqu'elle présente un solde à réaliser de 1 646 065 € en 2015.

Il est prévu en 2016 des dépenses de fonctionnement de 7 502 000 €. Les recettes quant à elles seront de 7 502 000 € en 2016 venant pour la plus grande part des impôts de taxes pour 5 551 800 €.

« J'ai demandéà Nadine Rio, (directrice générale des services) de faire des gros efforts en ce qui concerne les charges. Elles ont baissé de 7,83 % en 2014 et de 1,92 % en 2015, mais ceci n'est pas suffisant. J'en demande encore plus et pour ce faire, des chantiers sont déjà en cours, notamment au niveau de l'électricité qui nous coûte 120 000 € par an. Ce n'est plus possible », notifie-t-il.

Il explique : « En ce qui concerne le personnel, les hommes m'importent plus que les chiffres. Nous avons 144 employés territoriaux, dont 66 permanents et quatre non permanents. Le poste le plus lourd reste celui des saisonniers. »

Seulement deux postes ont été créés : celui de Rémy Charles, au complexe sportif, et celui de Solenn Fauché, à la communication. Le maire annonce : « Il y a des départs à la retraite cette année qui ne seront pas remplacés. »

Les campings municipaux

Pour les campings municipaux, pas d'emprunt. L'autofinancement sera total, avec un résultat cumulé positif de 211 871 € en 2015.

Un aménagement est prévu au Tendio pour les camping-cars. « L'idée est de prendre modèle sur l'aire de Ker Mor, avec son système automatique 24/24 qui plaît bien »,explique Stéphane Autin. Le Tendio n'atteint jamais le seuil de 100 % de remplissage. Or, les camping-caristes ne trouvent pas toujours de lieux de stationnement dans la commune. L'aménagement des lieux permettrait de « satisfaire tout le monde avec une quarantaine de places supplémentaires ».

Le port de Port-Navalo

« Il faut valoriser les 977 mouillages et aller à la recherche de nouveaux clients ». En février, lors des grandes marées, épaulé par l'ingénieur de la Compagnie des Ports, il sera procédéà une expertise de la Grande cale qui présente des problèmes. « On espère qu'ils soient minimes mais on ne peut rien évaluer pour l'instant », explique Philippe Bourin.

Avec plus de 170 000 passagers par an, la cale souffre énormément. « Et pourtant on se bat pour que les bateaux ne restent pas embrayer sur cette cale », précise Roland Tabart. Une provision de 15 000 € est prévue pour des dépenses imprévues.

Une borne électrique

Une convention sera signée avec le syndicat Morbihan Énergies pour l'installation d'une borne de recharge de véhicules électriques et hybrides qui sera installée sur le parking des associations.

L'aménagement du boulevard périphérique

La participation de la commune sera de 359 773 € pour poursuivre l'étude de l'effacement des réseaux aériens rue des Bruyères, rue des Ajoncs et rue de Bernon confiées à Morbihan énergies.

La sirène appelle au rassemblement

Le maire a accordé une question à Maryse Massulteau. Cette dernière a été mandatée par un comité de soutien aux sirènes. Suite à un certain nombre de questions, Roland Tabart a répondu « aux donneurs de leçon. Je préfère ceux qui s'engagent. Quand on sait que sur 3 000 propriétaires de bateaux, seuls 400 cotisent. Sachez que la sirène est toujours dans le clocher mais hors norme, et que son fonctionnement coûte très cher».

Changement de direction au Mille Sabords

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Mille Sabords. Départ de Jean-Marc Blancho 

5 février 2016

Jean-Marc Blancho était au Mille Sabords depuis 25 ans.

Jean-Marc Blancho était au Mille Sabords depuis 25 ans.

Deux figures du Mille Sabords ne seront plus sur le pont l'an prochain. Valérie Perrodo, qui était en charge de la communication, « a mis sac à terre » le mois dernier et se consacre en totalitéà son entreprise de communication visuelle à Sarzeau. Elle était au Mille Sabords depuis quinze ans. Jean-Marc Blancho, secrétaire général du salon, va lui aussi quitter l'organisation. Il a 57 ans. C'est un personnage historique du Mille Sabords puisqu'il était présent au commencement il y a 25 ans. « Jean-Marc avait souhaité prendre un peu de recul », indique Pierre Lanoë, président du premier salon européen du bateau d'occasion. « Cette décision a été prise ensemble d'un commun accord avec le bureau. Il n'y a aucun confli,t bien au contraire », ajoute-t-il. Le recrutement pour remplacer Jean-Marc Blancho est bouclé. Son successeur prendra ses fonctions au 1e r mars. Son nom n'a pas été encore communiqué. Seule une personne sera engagée. Ce changement à la tête du Mille Sabords correspond à un nouveau cap. « Le modèle économique change, nous avons besoin nous aussi d'évoluer, de nous professionnaliser encore plus et de nous organiser différemment », précise Pierre Lanoë. Le prochain Mille Sabords aura lieu du 29 octobre au 1e r novembre.
© Le Télégrammehttp://www.letelegramme.fr/morbihan/arzon/mille-sabords-depart-de-jean-marc-blancho-05-02-2016-

Vieilles Voiles de Rhuys

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Une restauration en projet pour les Vieilles voiles de Rhuys

L'Avel Mad, 8 mètres de long, pourrait être remis en état par l'association.
L'Avel Mad, 8 mètres de long, pourrait être remis en état par l'association. | 

L'association a tenu son assemblée générale, samedi, salle Armorique, à l'Hermine. À l'ordre du jour notamment, la restauration d'un Avel Mad de 8 mètres de long, datant de 1977.

Les Vieilles voiles de Rhuys comptent près de 200 membres. Certains viennent pour chanter fort, dans un groupe de 43 chanteurs, moitié femmes et hommes, d'autres pour restaurer les vieux gréements ou naviguer. « Chacun trouve sa place suivant ses enviesrésume le président, Gilbert Deschamps. On propose aussi des sorties. On a en projet la cité de la mer, la visite du Belem, le Cross d'Étel et peut être Brest, avec le Père Daniel. » Le président en a profité pour confirmer la fête du Carénage au Logeo, les 14 et 15 mai, et une proposition de rassemblement de vieux gréements en septembre, sur l'île d'Ilur.

Bateau à restaurer

En 2015, un bateau devait être trouvé pour sa restauration. Six ont été visités. « Parfois, on nous appelle pour des bateaux dans un état déplorable. Après l'expertise technique, on s'aperçoit que ce n'est vraiment pas possible. Nous avons trouvé l'Avel Mad, construction le Guillou, à Conleau. Il fait 8 mètres de long et date de 1977. C'est un petit jeune de 39 ans mais qui peut être classé Bateau inscrit au patrimoine. » Le pont et le moteur sont à refaire. Un an de travail sera nécessaire pour sa remise en état. Le bureau étudie cette proposition.

Père Daniel

Après la lecture du courrier du maire les remerciant pour l'installation et la mise en valeur lumineuse du Père Daniel devant la mairie, Gilbert Deschamps a déclaré que « c'est l'investissement de tous qui contribue à ce succès, nous sommes maintenant connus et reconnus ».

Atelier de restauration

Il a continué en signalant un problème de voisinage à Kéret, où se trouve l'atelier de restauration. Un collectif de quatre personnes a porté plainte, et le maire a demandéà un médiateur d'intervenir. Après une réunion tendue en octobre, où aucun accord n'a été trouvé, le collectif demande le départ de l'atelier. « La mairie vous apporte tout son soutien », a précisé Jeannette Launay, 1re adjointe. Gilbert Deschamps a précisé que l'association cherchait un autre lieu.

Le Corbeau des mers

« Nous nous sommes positionnés, au même titre que d'autres associations, pour avoir la gestion du Corbeau des Mers, dans le port de Vannes. Il appartient au musée Saint-Marcel, propriété de la Communauté de communes du Val d'Oust et de Lanvaux. Il part en révision à Douarnenez. 90 % de son financement a été trouvé. Théoriquement, il devrait être prêt pour Brest. On attend une réponse fin mars », explique Gilbert Deschamps.

Nouvelles activités

La création d'une section mécanique et d'une boutique avec de nouveaux produits à la vente. Par ailleurs, l'association assure des activités périscolaires tous les vendredis. « On a tous beaucoup de plaisir à côtoyer les enfants de CM1 et CM2. Durant une heure, on leur apprend, entre autres, les noeuds marins. »

Contact : tél. 07 80 39 64 59 ou www.vieillesvoilesderhuys.org

Veillée tradition Bretagne

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L'association du patrimoine fête ses 20 ans avec une veillée

Agathe Louis et Laurent Labeyrie en préparation de la veillée du 13 février, à la Maison du Port.
  • Agathe Louis et Laurent Labeyrie en préparation de la veillée du 13 février, à la Maison du 

Agathe Louis fervente défenderesse des traditions orales de la presqu'île et Laurent Labeyrie président de l'Association de sauvegarde du patrimoine arzonnais sont infatigables lorsqu'ils se retrouvent.

« Lorsque j'ai rencontré Agathe, elle avait déjà un joli passé de chanteuse traditionnelle. On s'est retrouvé avec des intérêts communs sur l'importance du patrimoine, qui nous ont rapprochés », explique Laurent Labeyrie. « Il y a un aspect du patrimoine sur lequel on n'a pas encore osé franchir le pas dans notre association, c'est la richesse de l'immatériel, le patrimoine vivant transmis de génération en génération », précise-t-il. C'est un patrimoine vivant qui reste actif en Bretagne intérieure, mais moins sur les côtes.

Il y a danger de rupture

Les anciens, qui transmettaient ce savoir, ont moins de possibilité de le faire maintenant, les enfants sont souvent partis travailler ailleurs. Le savoir-faire à donc tendance à s'étioler. Pour le tourisme, on favorise le patrimoine beaucoup plus architectural que l'immatériel. Si un effort collectif n'est pas fait, on risque de le perdre. « Il est donc nécessaire de favoriser le dialogue et l'échange dans le respect de la diversité culturelle » précise Agathe ; l'Unesco en a pris conscience en signant une convention en 2003 imposant cette sauvegarde et notamment en en dressant un inventaire.

La modernité mais avec le souvenir du passé

« Pour les 20 ans de l'Aspa, on voulait marquer le coup et faire la fête comme une veillée à l'ancienne, pour le plaisir d'être ensemble » explique Laurent. Les gens qui ont envie pourront conter, lire, danser ou chanter en un mot, participer, ou seulement venir écouter. Ce sera une première transmission du savoir.

Dès 18 h la soirée commencera par une conférence animée par Bretagne Culture Diversité et le groupement culturel breton du Pays de Vilaine avec ce qu'ils ont collecté sur la région. Ensuite à 19 h 30 de beaux duos comme Rano/Baillet chant et violon, le duo Guimbert/Louis, le conteur Louis Bernier et bien d'autres. Vers 21 h le fest-noz chanté pourra démarrer.

Le 13 février, à la Maison du port d'Arzon. Les associations d'Arzon seront nombreuses à participer, crêpes, galettes, bière bio locale et cidre seront au programme culinaire de cette veillée à l'ancienne.

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CARNAVAL 2016 à PORT NAVALO

Ecole du graniol

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Arzon. L’école Notre-Dame-du-Graniol fermée à la rentrée

L’école Notre-Dame-du-Graniol accueillait les élèves de maternelle et de primaire.
L’école Notre-Dame-du-Graniol accueillait les élèves de maternelle et de primaire.

L’école privée va fermer ses portes définitivement. Des parents surpris et en colère, des présidents d’associations de parents d’élèves plus tempérés, et un maire déçu.

Construite en 1939, la petite école privée Notre-Dame-du-Graniol a vu passer plusieurs générations d’enfants. Elle fermera ses portes définitivement à la fin de l’année scolaire.

Aurélie Voidy, présidente de l’Association de parents d’élèves de l’enseignement libre (Apel), et Alain Darsonval, président de l’Organisme de gestion de l’enseignement catholique (Ogec), ont été convoqués à une réunion extraordinaire par Nathalie Houssin, chargée de mission à la direction de l’enseignement catholique du Morbihan. "Elle était attristée et a mis un certain temps avant de nous l’annoncer", raconte Aurélie Voidy. C’est le diocèse qui gère les postes octroyés par l’inspection académique. Six postes 1/2 doivent être supprimés pour restriction budgétaire, et avec ses 25 élèves, Notre-Dame-du-Graniol est la plus petite école du Morbihan.

Une décision "raisonnable"

"On va se battre pour toutes les écoles rurales", déclare la présidente de l’Apel. Mais pas n’importe comment. Elle ne veut pas partir en croisade, mais réfléchir et agir tranquillement. Elle estime "dommage qu’on n’attache pas plus d’importance à la psychologie de l’enfant et à la qualité de l’enseignement des petites structures au profit de restrictions budgétaires."

Le président de l’Ogec espère une entente avec Saint-Gildas, afin que l’école du Graniol, dont les structures ont été rénovées et sont adaptées, puisse garder les petits et mettre les grands dans la commune voisine : "Une réunion organisée par le diocèse est prévue avec l’école privée de Sarzeau et de Saint-Gildas, le 14 mars, pour connaître leur possibilité d’accueil."

Les parents décidés à agir

"On savait l’école fragilisée mais on nous avait promis qu’elle ne serait pas fermée si on ne passait pas sous les 25 élèves, déclare Fabienne Kara Dulac, trésorière de l’Apel. On devait avoir de nouvelles inscriptions à la rentrée et les suivantes. La mairie veut faire venir de jeunes familles avec un programme de logements accessibles. On ne comprend pas cette décision."

Les écoles de Sarzeau et de Saint-Gildas déjà surchargées, les familles s’inquiètent pour leurs enfants. Ils déplorent que le diocèse ne se soit pas déplacé pour leur annoncer la nouvelle apprise la veille des vacances, coupant court à tout échange. "On va se battre, ne pas baisser les bras, l’école n’est pas encore fermée", déclare Carinne Bouvet.

Le maire préoccupé

"La sanction est tombée sans que je sois consulté, déclare le maire, Roland Tabart. Dès que je l’ai appris, en même temps que les parents, j’ai appelé Françoise Favreau, directrice académique des services de l’éducation nationale."

 

Une photo des élèves en 1951, de la classe du maire, Roland Tabart. À l’époque, ils étaient plus de 80.

 

Cette dernière lui a précisé que cette décision avait été prise en parfait accord avec Armel Gillet, adjoint au directeur du diocèse et responsables des écoles, dans une logique de rationalisation des besoins et des moyens. "J’ai ensuite contacté tous les intervenants qui avaient organisé ou étaient présents aux réunions. Mais mon curseur d’intervention est ridicule, je n’ai qu’un avis consultatif."

L’élu pensent aux conséquences : "Il va y avoir deux institutrices sans poste. Faut-il créer un autre poste à l’école Tabarly ? Les Temps d’activités périscolaires vont-ils pouvoir être maintenus à Arzon ? S’il n’y a plus qu’une école, peut-être faudra-t-il rejoindre l’intercommunalité… Et que va devenir le site ? Autant de questions préoccupantes qu’il va nous falloir étudier", conclut le maire, en précisant qu’il était prêt à recevoir les parents.

La sirène. suite....

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Arzon. Le maire s’explique sur l’arrêt définitif de la sirène

Une sirène est installée sur le toit de la locomotive, l’autre est dans le clocher de l’église d’Arzon.
Une sirène est installée sur le toit de la locomotive, l’autre est dans
leclocher de l’église d’Arzon. | Ouest-France

Depuis le 16 janvier, la sirène qui annonçait le départ de la vedette de la SNSM ne retentit plus. Mais le maire pourra la déclencher manuellement en cas de risque majeur.

C'est un signal bien connu des Arzonnais. La sirène qui annonçait le départ de la vedette des sauveteurs bénévoles de la SNSM ne retentit plus depuis le 16 janvier. Un arrêt qui a provoqué l’indignation de la population.

"Légalement, ce n'est plus possible""Je comprends l’affect qu’il y a autour de ce sujet. Mais légalement, ce n’est plus possible", explique le maire, Roland Tabart.

En effet, le 13 février 2015, l'élu a reçu un courrier du préfet du Morbihan l’informant que,"dans le cadre du livre blanc de la défense et de la sécurité nationale", la sirène d’Arzon n’est pas retenue dans la vague de modernisation. En revanche, elle peut être cédée à la commune en l’état, et uniquement pour l’appui de son plan communal de sauvegarde. "Il est important de souligner que nous étions dans l’illégalité pour les sorties", insiste le maire.

Le 10 avril, un nouveau courrier du préfet informe que France-Télécom va procéder au débranchement de toutes les sirènes RNA d’ici la fin de l’année. Il n’y aura donc plus la possibilité de déclenchement à distance. Le courrier demande de nouveau à la commune sa décision : cession ou démontage.

Le 6 août, même courrier précisant que les essais obligatoires de sirène, son fonctionnement et son entretien, seraient à la charge de la commune si elle souhaitait garder son propre système d’alerte, et dans des conditions précises d’utilisation.

Deux mois plus tard, Roland Tabart et Yves Melaine, délégué départemental de la SNSM du Morbihan, ont confirmé l’arrêt de la sirène début 2016. "Aujourd’hui, on a des moyens d’alerte plus performants. En plus, on se heurte à une décision du ministère qui n’appartient en rien au maire. La sirène était une spécificité Arzonnaise", explique Yves Melaine.

Quid de la sirène aujourd’hui ?Le coût d’une ligne spécialisée pour un déclenchement à distance est de 8 000 € HT, et sa mise à niveau entre 7 000 et 20 000 €. "Mais même si nous avions décidé de prendre en charge la sirène, nous ne pouvions plus la faire sonner pour des sorties. Décrets et arrêtés, les premiers datent de 2005. Nous avons pris le temps d’étudier le dossier et les lois. Nous n’avions pas d’autre solution. La sirène sera entretenue, mais sans le coûteux système à distance. En qualité de maire, je pourrai appuyer sur le bouton pour la déclencher en cas de risque majeur pour la population", précise l'élu.

Le dossier est consultable en mairie.

A voir à La Criée

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Laurent Labeyrie, président de l'Aspa, Martial Crowin, directeur Arzon-Animation, et le maire, Roland Tabart.
Laurent Labeyrie, président de l'Aspa, Martial Crowin, directeur
Arzon-Animation, et le maire, Roland Tabart. | 

« Nous avons travaillé sur plus de 4 000 photos apportées par l'Association de sauvegarde du patrimoine Arzonnais (Aspa), explique Emeric Jezequel, chargé culturel du Moulin de Pen Castel et de la Criée de Port-Navalo. Ensemble, nous avons sélectionné trente vues et réalisé des montages sur dix grands panneaux avec l'ancienne vue, la nouvelle vue, le commentaire et une carte de la commune pour repérer l'endroit »,précise-t-il.

À l'étage, vingt panneaux plus petits ont été installés, ainsi que des peintures de la commune réalisées dans les années 70 par le père de Maurice Vibert, et prêtées pour l'occasion. Les anciennes photos du phare de Port-Navalo, la gare, la chapelle du Crouesty avant la construction de port, seront à découvrir. « Cette exposition a demandé beaucoup de temps. Parfois, on ne réussissait pas à retrouver l'angle de vue pour la reprendre à l'identique à notre époque », explique Martial Crowin, directeur d'Arzon-animation, lors du vernissage.

 

Jusqu'au 30 avril, exposition visible de 14 h à 18 h, du mercredi au samedi, et les quatre dimanches des vacances scolaires, à la Criée à Port-Navalo.

 

Bonne brise pour le Yacht club

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Un vent de nouveautés sur le Yacht-club Crouesty Arzon

L'équipe de l'YCCA prépare activement la saison qui démarre.
L'équipe de l'YCCA prépare activement la saison qui démarre. | 

L'association qui compte 185 adhérents a décidé de faire passer le Record de la Vieille de deux à quatre jours et projette une nouvelle grande régate entre plusieurs clubs de la baie de Quiberon.

C'est un vent de changements qui flotte sur le Yacht-club Crouesty Arzon (YCCA).

Pour le Record de la Vieille, quatre dates sont à retenir au lieu de deux précédemment : les 19 mars, 9 avril, 17 septembre et 22 octobre. « L'année dernière, il y avait seulement treize bateaux à y participer, il fallait relancer l'intérêt. Maintenant, ils ne vont plus s'ennuyer mais être obligés de préparer en amont et être plus pointus durant la course », explique Michel Dubois.

Une grande régate à l'étude

Cette régate existe depuis 2010. Le premier record a été détenu par Serge Ducroux en 2 h 06, le 9 octobre 2010. L'année suivante, il a été battu à 2 minutes près par Jean-François de Prémorel et depuis 6 ans pas d'autre performance. Dans la nouvelle formule, chacun aura à choisir ses options en fonction des marées, des courants, des vents.

Le but de la régate ? Faire le tour de la Vieille avec départ et arrivée en baie de Kerjouanno et obligation de passer consécutivement les marques Sud de Méaban et l'Épieu. « Le record de cette nouvelle version est àétablir cette année, les inscriptions sont ouvertes », précise le président.

Challenges, grands prix, courses se succéderont tout au long de l'année. Avec la plus importante pour le club, le Grand Prix du Crouesty du 13 au 16 mai. « On attend plus d'une centaine de bateaux, c'est un gros rassemblement et en même temps une semaine festive avec toujours un thème ». Il y a également de grandes courses de corporations comme le Trophée des Bahuts, la Coupe Camille, la Bâti Cup entre autres.

Les cinq corporations prévues attireront plus de 130 bateaux. Une autre grosse régate est à l'étude en collaboration avec la Société nautique de La Trinité, la SNT, le Yacht-club de Quiberon, l'YCQ et l'YCCA. Le but pourrait être de faire sortir un maximum de bateaux de tous les ports autour de la baie. Les régatiers confirmés pourront participer au Tour du Morbihan, à la Duo du Crouesty ou à la J-Cup.

Des challenges auront lieu : cinq au printemps et cinq à l'autonome qui servent d'entraînement. Sans oublier la festive régate de Noël, où il est vivement conseillé de venir costumer et de décorer son bateau.

L'aspect convivial n'est pas oublié. Au club house, 30 à 45 adhérents se retrouvent régulièrement pour les « VC », les Vendredis du Club à partir de 19 h. Moment de convivialité qui fédère le groupe. Parfois, les soirées se prolongent comme hier avec une soirée raclette et au printemps l'arrivée des barbecues.

La convivialité avant tout

Une croisière est organisée tous les ans. Celle de cette année aura lieu du 8 au 22 juin. Son but est de faire participer des propriétaires de bateaux qui souhaitent naviguer en flottille, sans obligation de résultat, sauf celui de la convivialité et de l'amitié.

Des rencontres et des jeux sont organisés autour des pontons, c'est une croisière à faire en famille ou entre amis.

« On fait également des sorties moteurvoile, des sorties pêche, sport de glisse, des mini-croisières. On est ouvert à tous les passionnés du nautisme qu'ils soient à voile ou à moteur », précise Jean-Michel Brossard, vice-président de la commission loisirs.

Et Michel Dubois d'enchérir : « Les gens viennent se faire plaisir. Et ça nous fait plaisir en même temps ». Le club regroupait 185 adhérents en 2015. « On en espère 200 cette année. »

Renseignements : www.ycca.fr.

Cinquième étoile

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L'hôtel-thalasso Miramar décroche sa cinquième étoile

Le standing de l'établissement vient d'être récompensé. Neuf mois après sa réouverture, le chiffre d'affaires est en progression. Et la saison s'annonce bonne. Les réservations affluent.

Un discret panneau doté des 5 étoiles est désormais apposéà gauche de l'entrée du Miramar. « Nous n'avons pas, pour l'instant, le projet de l'afficher au niveau de l'enseigne », précise Sergio Tosati, directeur général de l'hôtel-thalasso.

« Pour nous, c'est une reconnaissance de la qualité des services, du standing des lieux et une certification française », précise-t-il. Les prix n'ont pas augmenté depuis l'obtention de cette étoile supplémentaire. Des travaux importants ont été effectués pendant l'année de fermeture et une stratégie commerciale mise en place.

Activité en progression

« Nous sommes en 2016 dans la continuité. Après neuf mois de fonctionnement, on est en progression et les signaux sont bons au niveau des réservations. Les événements survenus au Maghreb, et notamment en Tunisie où l'offre de thalassothérapie est très prisée, ainsi que les attentats parisiens ont fait venir une clientèle qui avait besoin de se ressourcer, d'être au calme ».

L'établissement a été fermé trois semaines en janvier et le sera tous les ans, période nécessaire à l'entretien des infrastructures. Cette année le restaurant « Ruban bleu », au-dessus de l'entrée, a été refait ainsi que les cabines d'eau et la partie vestiaires.

L'esthétique est maintenant au niveau zéro, au ras de l'eau et plus en cohérence avec la thalasso. À présent, on peut circuler de la partie esthétique, cocooning à celle réservée aux soins secs ou à celle consacrée aux soins d'eau. L'ensemble de la structure est tourné vers le bien être. La nursery a été refaite et rapprochée de l'espace thalasso pour que les mamans puissent aller voir leurs enfants à tout moment.

Du côté des sportifs, tout est mis en place au niveau de la salle de sport comme au niveau alimentaire pour les satisfaire et l'équipe de football de Guingamp, habituée des lieux, devrait revenir cette année. Le développement continuera d'évoluer vers la clientèle française, suisse, belge et luxembourgeoise.

De nouveaux soins

« Nous souhaitons également développer notre légitimité en matière de soins avec notre médecin qui est là, du lundi au vendredi. Nous désirons personnaliser et individualiser au maximum en intégrant de l'acupuncture, de l'ostéopathie, de la sophrologie et de la kinésithérapie », explique Sergio Tossati.

Et d'insister « On s'appuie le plus possible tant au niveau des soins qu'au niveau gastronomie, sur des produits locaux ».

Les cures à la journée ont été développées en pensant à une clientèle locale. Ainsi, il y a, par exemple, la journée «équilibre énergie »à base de spiruline marine fraîche en soins et en concentréà déguster, ou la journée « plénitude » pour se détendre.

Après un essai concluant, en septembre dernier, la sortie sur la plage de Saint-Gildas avec marche aquatique encadrée par un entraîneur qualifié va être mise en place dès mai, ainsi que des promenades oxygénation avec un coach.

Les trois restaurants, un gastronomique, un diététique et un snack sont ouverts à tous ainsi que le bar, qui devrait d'ici peu offrir une carte de tapas.

L'établissement emploie environ 150 salariés. « Nous sommes toujours à la recherche de personnel qualifié et bilingue au niveau de la restauration et au niveau du logement »,rappelle Sergio Tosati. « Des postes sont donc à pouvoir pour un travail saisonnier mais aussi en CDI et tout le personnel est logé, précise le directeur, même si le logement reste une problématique importante sur la presqu'île. »

Salon du livre

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Salon du livre. « Au fil de l'or bleu » 

26 février 2016

 

Le salon débutera ce samedi avec atelier cosmétique et découverte des algues le...

Un beau salon du livre organisé par Arzon animation avec entrée et animations gratuites attend le public ce week-end. Il aura pour thème conducteur « Au fil de l'or bleu... Eau et climat ».

Il débutera ce samedi 27 février avec un atelier cosmétique et découverte des algues animé par Mélanie Chouan, à 10 h, au Moulin de Pen Castel. (Réservation obligatoire au 02.97.53.88.06 ou au 02.97.53.71.65).

Myriam Le Moigne, en collaboration avec l'Aspa (association de sauvegarde et de mise en valeur du patrimoine arzonnais) invitera le public pour un circuit des Fontaines avec rendez-vous à 14 h 30, en Maison des associations (gratuit, attention le circuit peut être annulé en cas de mauvais temps). Elle précise que « nous parlerons des fontaines et puits avec quelques mots d'histoire en allant jusqu'à Porh-Nèze puis retour par la ligne du petit train et ensuite, direction Bernon ».

Dimanche, livres et animations


Dimanche 28 février, le salon du livre se poursuivra, de 10 h à 19 h, à la Maison des associations, en collaboration avec la librairie Les Passeurs de mots de Sarzeau, le réseau des médiathèques et la Bibliothèque pour Tous ainsi que les éditions Riveneuve, Donjons.

L'association locale Au vent de l'histoire présentera ses cinq ouvrages dédiés à l'histoire de la presqu'île de Rhuys. Une quarantaine d'auteurs seront présents comme Lionel Lamour, Emmanuel Poisson, Yves Dewulf, Line Cheutin, Michel Priziac, Goerges Point, Simone Dulac (Arzonnaise) nouvellement primée au prix national Blaise Cendrars, Michel Fleury (Arzonnais), Adrien Mounier, Laurent Labeyrie (Arzonnais et président de l'Aspa), qui a publié en 2015 « Submersion. Comment gérer la montée du niveau des mers »....

Une conférence aura lieu dimanche, à 15 h, avec Emmanuel Poisson, sur « Eau et environnement au Vietnam à travers l'iconographie du début du XXe siècle ».

De nombreuses animations et des jeux, autour du milieu marin seront proposées par l'aquarium de Vannes. D'autres propositions raviront les enfants avec « Jeux pêche tes contes », qui proposera un atelier de reconnaissance coquillages, des jeux de toucher et un aquarium de coquillages pédagogique ainsi qu'un atelier nature. Mélanie Chouan, elle, encadrera un atelier créatif. 

Pratique 
Arzon animation, tél. 02.97.53.71.65
© Le Télégrammehttp://www.letelegramme.fr/morbihan/arzon/salon-du-livre-au-fil-de-l-or-bleu-26-02-2016-10971506.php#f1dEWMrOr4DRbqRl.99

Immobilier

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 Immobilier. Le programme Blue baie prend forme 

24 février 2016  Le Télégramme

 

 

Immobilier. Le programme Blue baie prend forme

Le programme Blue Baie, du promoteur Lamotte, de Rennes, prend forme rue de La Poste, en face de la mairie. Depuis peu, un panneau a été installé annonçant prochainement un ensemble résidentiel avec appartements de deux à quatre pièces. Le permis de construire avait été accordé le vendredi 7 août et a été purgé de tous recours récemment. Comme indiqué sur le permis, est prévue l'édification de quatre bâtiments d'habitat collectif et d'une piscine, après démolition de deux habitations. La superficie du plancher sera de 6.866 m² sur un terrain de 9.661 m².

 

 

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