Cirés et coupe-vent étaient de sortie ce week-end pour les régates de Port-Navalo. La pluie fine n’a pas eu raison de la fréquentation toujours aussi importante.

Les régatiers les plus courageux ont remis cela, dimanche matin, après des régates bien suivies, la veille, au large du Fogeo.

Sécurité oblige : pas d’écran géant

Après consultation de la préfecture et de la mairie, la présidente des régates de Port-Navalo, Sylvie Madeline, a annoncéà tous ses bénévoles la décision de ne pas ouvrir le pôle navigation avec la retransmission sur écran géant par drone des régates. Une déception puisque c’était une nouveauté, mais le temps n’est jamais prévisible et le vent souvent capricieux.

Cela n’a en rien entaché la fête à terre, le public a dégusté les huîtres du Golfe de Corinne Leroux et les traditionnelles saucisses-galettes, en écoutant de la musique bretonne.

400 lithographies de l’affiche

Le stand des affiches officielles trônait en première place, attirant les amateurs qui reviennent à chaque édition.

Cette année, 400 lithographies ont été tirées. Louis Omnes, l’ancien président des grandes Régates constate : « Tous les ans depuis 2005, Gildas Flahaut nous fait notre affiche. Cette année, il part faire le tour du monde, donc on va tout faire pour avoir d’avance notre affiche 2018. »

Il ne reste que quelques affiches de 2007, 2012, 2013 et 2015, les amateurs les collectionnent.

Claude, le responsable du matelotage de L’Indomptable, coquillier de 1947 d’Auray, et invité d’honneur, était à son stand pour apprendre aux petits comme aux grands le secret des nœuds marins.

La traditionnelle course à la godille en plate a eu lieu dans le port. La parade, de son côté, a toujours beaucoup de succès, la valse des voiles rouges et des belles coques en bois offre un spectacle toujours prisé.

La soirée s’est terminée par la remise des prix aux régatiers, avant le bal et, bien sûr, le feu d’artifice.

Ce lundi 24 juillet a débuté la troisième édition du festival de musique Jazz N’Arzon. Au programme jusqu'au dimanche 30 juillet, de nombreux concerts dans des bars et restaurants, mais aussi en extérieur.

14 bars ou restaurants accueillant des concerts, 18 groupes ou artistes, un concert en extérieur tous les soirs (excepté mercredi 26 juillet), Jazz N’Arzon a vu les choses en grand cette année.

Ce lundi 24 juillet, la chanteuse Mélina Tobiana, accompagnée de son groupe, a eu l’honneur d’ouvrir la troisième édition de ce festival organisé par Arzon Événements, en collaboration avec l’Union des commerçants et artisans d’Arzon (UCAA).

 Parmi les autres artistes présents cette semaine au festival Jazz N’Arzon, on peut citer le duo de jazz électro Énergie Noire, composé du saxophoniste Nicolas Péoc’h et du guitariste Vincent Raude, le groupe Shake Carpets, aux sons jazz et groove, ou encore Yvan Guillevic et Anne Sorgues, un duo guitare/voix mélangeant jazz, blues et soul.

"Nous avons voulu une programmation hétéroclite. Tous les styles de jazz sont donc représentés : électro, manouche, musette, vocal, classique…", explique Mélanie Rey, responsable événementiels et communications à Arzon Événements

Les plages de Port-Maria et du Poulgor, à Saint-Gildas-de-Rhuys, et de Penvins, à Sarzeau, ont été fermées au public le vendredi 28 juillet, en début d’après-midi, en raison de travaux d’enlèvement des algues. Ces opérations ont duré environ deux heures.

"Cet afflux d’algues est naturel. Lorsque ces algues, qui se situent entre Hoëdic et la presqu’île de Rhuys, sont chahutées par les courants marins, les vents et les marées, elles se décrochent. C’est ce qui se passe en ce moment", explique Thierry Eveno, vice-président de Golfe du Morbihan - Vannes agglomération (GMVA) en charge de l’eau.

Un phénomène qui se produit tous les ans de façon plus ou moins importante d’après Thierry Eveno. "Il y a plus d’algues qu’en 2016 mais moins qu’en 2015", note-t-il.

Rien à avoir avec les algues vertes

Lorsqu’elles s’accumulent, il faut donc les ramasser. "Nous avons déjà réalisé 17 opérations de ramassage depuis le début de l’été sur la presqu’île de Rhuys, dénombre le vice-président de l’agglomération vannetaise. Et nous allons en refaire tout au long de la période estivale."

Pour ceux qui auraient peur de se baigner à cause de ces algues, Thierry Eveno précise : "Elles n’ont rien à voir avec les algues vertes, elles ne sont donc pas dangereuses."

Du jaune, du bleu, du rouge, du bois verni… Le spectacle était coloré, mardi, à la sortie du port du Crouesty, pour le début du National Corsaire.

Le National Corsaire, organisé par le Yacht-club du Crouesty, en fait partie. La régate a débuté mardi, au départ du port du Crouesty, et ce, jusqu’à vendredi.

Une association omniprésente en France

« On fait à peu près une dizaine de courses dans l’année, en rivière ou en mer. On est invités au championnat de France, et présent au Salon nautique, à Paris », explique Jacques Lévy, le président de l’AS Corsaire, organisatrice du rassemblement. Le gros de la flotte des Corsaires se trouve en Bretagne et en région parisienne.

« On essaye d’aller partout, et on y arrive. On a des bateaux anciens des années 50 et des plus récents, certains amateurs les construisent eux-mêmes. 30 % de la flotte est en polyester, les autres sont en contre-plaqué, comme à l’origine », précise-t-il.

L’organisation fait attention, dans ses jauges, à donner les mêmes chances à tout le monde. « C’est l’équipage qui fait la différence », ajoute-t-il en souriant. Ils sont 260 adhérents dans l’association.

52 équipages sur l’eau

Entre 9 h et 10 h, les voiles se hissent sur le quai d’honneur, derrière la capitainerie du port du Crouesty. Au total : 52 bateaux de toutes les couleurs, avec à leur bord deux ou trois navigateurs passionnés, défilent.

Tout le monde s’active avant le départ. Le peu de vent les oblige à tirer des bords, dès le chenal pour certains, pour d’autres, il faut godiller pour avancer. Les premiers au large prennent le vent pour le départ de la régate.Ils ont fait l’aller-retour mardi soir, et repartiront ce matin pour une régate dans le golfe, avec une nuitée à l’Ile-aux-Moines.

Aujourd’hui et vendredi 5 août, départ entre 9 h et 10 h, sur le port du Crouesty, côté Capitainerie. Renseignements : ycca.fr et ascorsaire.fr

Mais avant, place à la déco. Madalen, Jéremy et Louis, étudiants ou intérimaires à Rennes, Nantes ou Vannes, sont également bénévoles à l'association Constellation des arts de Vannes. Ils sont là pour trois semaines de travail pour assurer la décoration du festival.

Scaphandres et animaux marins à l'honneur

Ils scient, poncent et peignent, sous la houlette de Madalen, étudiante en école d'art, déjà titulaitre d'un CAP et d'un Brevet des métiers d'arts en fresques, trompe l'oeil et décors de théâtre.

En accord avec les organisateurs du festival, le thème choisi est celui de Jules Verne, esprit 20 mille lieues sous les mers. « On va essayer de rendre jaloux le Hellfest », dit Jéremy en rigolant. « Ils nous amènent leur temps, leur savoir. La déco ça fait tout sur un festival »,souligne Vincent Chauchard. Belle réussite de la première date en juillet, puisque l'association a été obligée de bloquer les entrées à 900 personnes. « Le bilan financier a été positif, ce qui nous permet d'investir dans les décors » ajoute-t-il.

Les autres membres des deux associations viendront leur prêter main-forte pour finaliser les décors, qui seront posés le 12 août, sur la Criée.

Page facebook : Braises sonores

Roland Tabart, le maire, a accueilli les saisonniers SNSM, sapeurs pompiers, gendarmerie et service technique venus en renfort pour le mois d'août dans la salle du conseil, hier.

Après une réunion de travail, ils se sont tous prêtés à la traditionnelle photo devant la mairie. « C'est un gros effort financier pour la commune, signale le maire. Mais c'est une obligation, nous sommes une station touristique. Nous sommes dans un système d'extrême sécurité. »

La commune, entre permanents et saisonniers, compte 110 agents et devient le deuxième employeur après le Miramar.

Le maire a ajouté : « Au-delà de la bobologie classique, deux interventions importantes ont eu lieu en juillet à Port-Navalo. En déclenchant toute la chaîne des secours, suite à un malaise d'une personne en mer et d'un véliplanchiste en hypothermie, ils ont permis de les sauver. »

Affectations des saisonniers

La SNSM : 16 jeunes nageurs sauveteurs en renfort des 15 permanents bénévoles. Antony Delrue est le responsable des nageurs sauveteurs et Max Jacobée, président de la SNSM d'Arzon, supervise l'ensemble

Les sapeurs pompiers : 3 en renfort plus les 15 habituels

La police municipale : 2 en renfort pour 6 mois en plus des 3 à l'année. Il y a également le renfort de gendarmerie mais qui ne dépend pas de la mairie.

Les services techniques propreté et voirie passent de 2 à 6.

Dans les campings, de 2 ils passent à 4 pendant 6 mois.

Le centre de Loisirs passe d'une personne à l'année à 10 pour l'encadrement des enfants et des jeunes.

Le succès a été total pour la venue du RC Vannes lors de son match contre les Jersey Reds, autant du côté du nombre de spectateurs que du résultat.

Près de 2 000 personnes ont assistéà la rencontre. Les associations, et notamment le stand de galettes, ont terminé la soirée avec les stocks vidés. « On a nourri plus de 1 000 personnes », explique Francette, ravie.

Le RC Vannes s’est imposé 38 à 14. Le président du Comité de Bretagne, Yvon Colleaux, en échangeant à la fin du match avec Roland Tabart, le maire d’Arzon, a confirmé le partenariat qui les liait avec l’organisation d’au moins deux prochains matchs Espoirs du RCV. Dix-neuf jeunes doivent venir prochainement à Arzon pour un stage d’oxygénation et d’entraînement.

« En plus, on a eu une valeur ajoutée avec le fair-play du RC Vannes qui a bien voulu laisser à nos associations la gestion des buvettes et de la restauration », explique le maire. Patrick Demolin, secrétaire général du Comité, venu il y a dix jours homologuer le terrain, était également présent.

Peut-être une école de rugby sur Arzon

Le maire a salué Martin Michel, directeur général du RCV, avec qui la négociation du match s’est faite. Roland Tabart ne cache pas son engouement pour une éventuelle reprise d’une école de rugby sur la presqu’île de Rhuys, et espère, grâce à la venue du RC Vannes, déclencher des vocations parmi les jeunes.

Il a également loué la ténacité de Rémy Charles, responsable du complexe, qui a permis cet important événement sportif sur la commune.

Une ordonnance de rejet vient d’être rendue par le tribunal administratif de Rennes le 31 juillet 2017. La SCI Gaeyan avait demandé au juge de suspendre l’exécution de deux décisions, accordées par le maire d’Arzon au profit de l'hôtel Miramar à Arzon (Morbihan).

La SCI Gaeyan a attaqué le permis de construire du Miramar devant le tribunal administratif. Il s’agissait de la décision accordant un permis de construire (PC) à la société SAS Miramar Immobilier et la décision du 2 septembre 2016, rejetant le recours gracieux effectué par la SCI.

Cette dernière soutenait qu’il y avait urgence à statuer car les travaux avaient débuté alors que le permis de construire méconnaissait un certain nombre d’articles du Code de l’urbanisme et du plan local d’urbanisme (PLU).

La commune d’Arzon concluait au rejet de la requête pour plusieurs motifs. Tout d’abord, la SCI ne disposait pas d’intérêt à agir car elle n’était pas voisine immédiate du projet litigieux et ne disposait d’aucune vue mer significative. Ensuite, l’urgence n’était pas justifiée et le projet était porteur d’importantes retombées économiques et sociales. Enfin, le PC respectait bien le Code de l’urbanisme et le PLU.

La SAS Miramar concluait également au rejet de la requête. Elle soutenait, comme la commune d’Arzon, que la SCI n’avait pas d’intérêt à agir et que le PC ne méconnaissait pas le Code de l’urbanisme et le PLU.

Le juge des référés considère qu’aucun des arguments présentés par la SCI ne permet au juge de considérer qu’effectivement, un doute sérieux existe quant au bien-fondé du PC.

Il rejette donc la requête sur ce fondement sans même examiner l’urgence et la fin de non-recevoir. Il rejette également les conclusions de la commune d’Arzon et de la SAS Miramar. Cette décision est provisoire dans l’attente d’un jugement au fond.

La 12e édition de cette course cycliste aura lieu jeudi. Le circuit de cette année s’annonce rapide, avec des pointes de vitesse à 60 km/h. Sensations garanties.

Le Vélo sport de Rhuys (VSR), Arzon Événements, le Comité de coordination des associations arzonnaises (CCAA), avec le soutien de la municipalité, organisent la 12e édition du Grand prix de la ville d’Arzon, qui aura lieu jeudi 10 août.

Pendant neuf ans, il s’est tenu au Monténo, puis deux ans à Port-Navalo. Cette année, grande nouveauté, il aura lieu dans le bourg d’Arzon. Le départ est prévu à 19 h 30 pour 45 tours de 1,8 km soit 84 km que les coureurs de 1e, 2e et 3e catégories, et juniors devront parcourir.

Le point de départ est situé devant La Poste. La course se poursuivra vers la place de l’Église, la rue de la Gendarmerie, la rue de Kerners, puis la rue du Redo, le rond-point du Crouesty, pour une arrivée, après 45 tours, devant La Poste.

Du spectacle en perspective

L’arrivée est prévue aux alentours de 21 h 30. Pendant ce temps, les routes concernées seront fermées à la circulation. Le nouveau circuit sera un peu moins technique, avec moins de côtes, mais il sera plus rapide. « Ils rouleront à 42 km/h, avec des pointes jusqu’à 60 km/h. En se plaçant en bas de la rue du Redo, il y aura une belle descente en ligne droite à regarder »,souligne Jérôme Lappartient, président du VSR.

Soixante coureurs sont attendus. Certains sont de haut niveau, dont les meilleurs engagés de Bretagne. Le CCAA lance un appel aux bénévoles qui encadreront la course avec les policiers municipaux.

Contact : tél. 02 97 49 46 21, Yves Roussel, coordinateur des bénévoles pour cette course au niveau du CCAA.

Le vernissage d’une exposition photos des plus grands navigateurs, prises par Jean-Marie Liot, photographe officiel de grandes courses et de nombreux marins, a eu lieu vendredi.

Cette exposition a été rendue possible grâce au partenariat entre la Compagnie des ports du Morbihan et Arzon Événements.

Le photographe de cette exposition, Jean-Marie Liot, a remporté le 1er prix Mirabaud Yacht Racing Image award 2016, qui est un concours international regroupant 150 photographes à travers le monde. Il a donné accès à sa photothèque à Marc de Guellinck, directeur du port Martiel Crowin, directeur d'Arzon Événements et Eymeric Jézéquel, responsable artistique Arzon Événement.

« On a voulu ce double choix horizontal et vertical. Certaines photos au sol sont prises d’hélicoptère, et en se mettant au-dessus, on a l’impression de plonger dedans », précise le directeur du port.

Leur idée était de mettre des photos impressionnantes : dix à la verticale et vingt-deux au sol, toutes accompagnées de « # » pour les légendes les réseaux sociaux.

Ils ont tous souhaité que l’humain soit présent, en montrant une image du marin allant au bout de lui-même.Bercé très tôt par les vagues, le père de Jean-Marie Liot était l’un des premiers à amarrer son bateau

Contact : www.jmliot.com. L’exposition est visible jusqu’en octobre.

La première édition du festival artistique et culturel Kerners de voyage aura lieu ces vendredi 18 et samedi 19 août. Au programme : des spectacles, des concerts, des animations et des jeux.

Arzon a un nouveau festival. Après Les Arzonnaises, Jazz n’Arzon, Braises sonores ou encore Place aux mômes, le dernier né s’appelle Kerners de voyage. "Son objectif est d’animer le village de Kerners, qui accueille moins d’événements que le port du Crouesty ou Port-Navalo", explique Nicolas Le Serf, président de l’association Echo Beach, organisatrice du festival.

Une ambition artistique

"Le festival a une véritable ambition artistique. Pour cette première édition, nous nous sommes orientés vers la musique, mais nous espérons croiser les disciplines dans le futur, en proposant aussi par exemple des spectacles de danse", ambitionne Nicolas Le Serf.

Les spectateurs pourront assister ce vendredi 18 août au spectacle de rue en déambulation de la fanfare Menace d’Éclaircie et au concert de musique du monde du groupe Meïkhâneh accompagné de Martin Coudroy. Samedi 19 août, le duo trompette-contrebasse Ekko animera dans l'après-midi une sieste musicale.

Jeux en bois, marché nocturne et chasse au trésor

À côté des spectacles et concerts, les organisateurs du festival ont prévu d’autres animations. Vendredi 18 août, les visiteurs pourront essayer des jeux en bois traditionnels, s’initier à la boule bretonne puis déambuler dans les allées du marché nocturne des producteurs locaux et artisans créateurs. Samedi 19 août, une chasse au trésor est prévue, avant un pique-nique partagé et de nouveau la mise à disposition de jeux en bois traditionnels.

Directeur du casino JOA d’Arzon depuis deux ans, Olivier Bourrée est satisfait du début de saison estivale. Pour l’instant, le nouveau casino de Vannes ne lui fait pas de tort. En novembre, le restaurant va être réaménagé et de nouvelles machines à sous achetées.

Comment se passe la saison estivale ?

La période de novembre à mai a été assez compliquée. Mais depuis le mois de juin, c’est beaucoup mieux. La fréquentation du casino est en hausse. L’ouverture du nouveau casino de Vannes le 12 juillet dernier n’a pas eu d’impact sur notre fréquentation, mais nous attendons la rentrée avant de tirer des conclusions. Les bons chiffres actuels de notre casino sont en effet liés à la saison, car il y a une majorité de vacanciers parmi nos clients.

Avez-vous embauché des saisonniers pour cet été ?

J’ai recruté cinq personnes, en plus de nos trente employés habituels. Mais je recherche encore une personne pour faire la caisse. J’ai beaucoup de mal à trouver des candidats. Les logements sont très chers sur la presqu’île de Rhuys en été, et il n’y a pas beaucoup de places dans les campings.

Quels sont les atouts de votre casino ?

Le casino fait partie du groupe JOA, ce qui nous offre des opportunités que les casinos indépendants n'ont pas. Par exemple, nous avons reçu en fin d'année dernière la plus haute machine à sous d'Europe, qui mesure 3 m 20. Elle est en exclusivité dans tous les casinos du groupe JOA.

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Quel est le profil de votre clientèle ?

Nous avons tous les âges. Les plus de 40 ans préfèrent les machines à sous, alors que ce sont les jeux de table qui sont à la mode chez les 18-30 ans, depuis un an et demi. Ils jouent beaucoup au black jack, à la boule et à la roulette électronique.

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Comment se porte votre restaurant ?

Sa fréquentation augmente depuis deux ans. Elle a progressé de 30 % l'an dernier et de 20 % cette année. Notre restaurant commence à avoir une bonne réputation. Il y a deux ans, sur les sites internet comparatifs, il était classé 21e sur les 32 restaurants que compte Arzon. Aujourd'hui, il est 9e.

Retrouvez notre rubrique Hôtellerie-Restauration

Quels sont vos projets ?

Le restaurant devrait être réaménagé au mois de novembre. J’aimerais également proposer de nouveau sur certaines machines à sous des jackpots disponibles dans plusieurs groupes de casino. Ce type de jackpots permet aux visiteurs de pouvoir gagner plus d’argent. Par exemple, en 2011, l’un de ces jackpots a été remporté par l’un de nos clients. Celui-ci a empoché neuf millions d’euros, ce qui reste à l’heure actuelle le plus gros gain d’Europe.